En 24 étapes, découvrez les principaux sites et bâtiments qui témoignent de la longue histoire de la ville, tout au long d’un parcours agréable et instructif.
En 2018 et 2019, lors des journée Européenne du Patrimoine, 16 plaques historiques ont été inaugurées sur la commune.
Retrouvez les sur les différents bâtiments.
Le plan du cadastre dit « napoléonien », levé en 1832, nous informe sur la quasi-totalité des noms des cours d'eau et ruisseaux de la commune ), ce qui n'est pas le cas de la carte de l'Institut Géographique National ...
Des projets de construction d’un abattoir municipal virent le jour à Saint-Lys au cours des années 1852-1855.Il fallut attendre 1923, sous le mandat du maire Joseph BOUAS, pour que cet édifice fût construit.
La première gendarmerie installée à Saint-Lys en 1839 se trouvait place de la halle, et la tradition orale mentionne que la brigade occupait cet emplacement. Une succursale des magasins « L’Épargne » ouvrit dans ce bâtiment en octobre 1901.
Connue au sein des services secrets sous le nom de « Source MAD », elle fut l’une des plus précieuses espionnes de la France Libre en Autriche durant la Seconde Guerre mondiale.
La ville de Saint-Lys, située à 25 km au sud-ouest de Toulouse, est une « bastide » fondée à la fin du XIIIe siècle. Elle possède une halle construite à partir de 1844 sur la place centrale de la commune.
Il occupe vraisemblablement le site du castrum ecclésial (« fort ») des moines cisterciens de l’abbaye de Gimont, propriétaire de ce terroir à partir du milieu du XIIe siècle.
En 1588, le bourg de Saint-Lys fut attaqué par les huguenots de L’Isle-Jourdain. L’année suivante, les édiles de Saint-Lys se portèrent acquéreurs d’au moins deux pièces d’artillerie en bronze destinées à assurer la défense du bourg.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.AccepterRefuserEn savoir plus